Dans les derniers mois de sa vie Jacques RONGIER, co-fondateur de l’association PHASE, préparait, pour "Les Echos de Plougonvelin" un article sur l’Ecole des Pupilles qui fonctionna dans les baraquements de Bertheaume de 1945 à 1950. Sa fille Marie-France nous a fait parvenir son dossier et Robert LE GUEN s’est chargé d’en assurer la mise en forme. Jacques RONGIER, jeune Officier Marinier engagé dans la Marine en 1938, est affecté en 1947 à l’Ecole des Pupilles de Bertheaume, très rapidement il (...)
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Objets, lieux et sites
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L’Ecole des Pupilles de la Marine
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A Toul Logot, l’ancienne batterie côtière du XVIIè siècle surgit du passé
Du 1er au 30 juin 2008, une dizaine de bénévoles de l’association PHASE ont réalisé, sous la direction de Jean Yves EVEILLARD, une campagne de fouilles archéologiques dans les vestiges de l’ancienne Batterie côtière de Toul Logot, située en bordure du chemin côtier (GR 34) entre les plages de Porsmilin et de Porski.
Au préalable, après la pose d’une lisse de sécurité par le Conseil Général, il avait fallu procéder au débroussaillage complet du site. En effet la première opération, réalisée début 2007, (...) -
Le manteau de Jonas
Attention, ceci n’est pas de l’histoire, même si le cadre peut en paraître historique.
C’est UNE histoire, librement imaginée. A chacun donc, s’il le souhaite, de reconnaître le moment où il quitte la grand-route du réel pour les sentiers – boueux ou fleuris – de l’imaginaire.
Les premiers marins qui se sont aventurés hors de la Méditerranée, « berceau des civilisations » étaient des Phéniciens de la colonie tyrienne de Carthage. Après avoir franchi le détroit de Gibraltar (qui ne s’appelait pas encore (...) -
Monstre marin
Janvier 1763.
Lettre adressée aux auteurs du journal Encyclopédique par un officier du Régiment de Royal Comtois au sujet d’un monstre marin, auquel on donne le nom d’homme de mer.
Messieurs,
Quoique on ne doive point s’attendre de la part d’un officier, qui ne s’est jamais attaché qu’au métier de la guerre, à une description exacte d’un monstre marin, telle que Monsieur Buffon et autres excellents naturalistes auraient pu en donner ; permettez moi cependant dans ma manière de m’exprimer, de vous (...) -
Lochrist, trêve de la paroisse de Plougonvelin
L’ancien bourg, l’église
Le village d’origine s’est bâti selon la coutume des populations côtières de l’époque, à quelque distance de la mer, sur une hauteur, de façon à voir arriver l’ennemi et organiser la défense, ou fuir en emportant ses biens les plus précieux.
Les historiens associent volontiers les appellations de lieux bretons en Loc-Christ ou dédiés à la Vraie-Croix ou à la Sainte-Croix, à l’existence de moines templiers dans la région. L’église de Lochrist, trêve de Plougonvelin, s’appelant église (...) -
Les chemins creux
Quelques chemins creux existent encore chez nous. Jadis ils reliaient les hameaux entre eux.
Situés au plus bas des dénivellations naturelles du terrain, ils étaient souvent mouillés par le ruissellement de la pluie. Les talus qui, tout en abritant du mauvais temps les enfants sur le chemin de l’école, étaient un paradis pour les oiseaux, les insectes, le gibier et les fleurs sauvages qui se ressemaient au gré du vent. De minuscules trouées dans la végétation nous rappelaient le passage nocturne du (...) -
Je suis "la place du Général de Gaulle" !
C’est écrit en tout petit, au dos d’une vieille maison de pierre, au bas du bourg de Plougonvelin. Il faut vraiment avoir besoin d’y venir pour savoir qu’elle existe. Seuls, les enfants du pays la connaissent : c’est là qu’est leur école, ainsi que quelques riverains qui y résident depuis plus de quarante ans !
Ensemble, faisons un grand saut en arrière et écoutons-la nous raconter son histoire ! « Je me vois encore vers les années cinquante. Je suis alors un champ verdoyant où les animaux de la ferme (...) -
Les Daviers
Une curiosité locale, unique au monde ? en danger de disparition.
Le GR 34 qui mène les promeneurs de Saint Mathieu à Bertheaume, et guide sur leurs premiers kilomètres les pèlerins vers Saint Jacques de Compostelle situé en l’autre « Finis terrae », se laisse découvrir progressivement, offrant les tableaux successifs de ses décors naturels uniques. Pour les plus curieux, il propose des détails plus intimes sur sa flore ou sa faune, ponctuant, de ci, de là d’une touche grise, un tapis de bruyères (...) -
Pourquoi Saint-Anne ?
Très fréquentée aux beaux jours, la plage de Sainte-Anne ( ou Sainte-Anne du Trez-Hir ) ne s’est pas toujours appelée ainsi...!